Il était plus qu’un chanteur. Bob Marley, c’était la voix des sans-voix, le battement de cœur des peuples oubliés, l’écho d’un tambour qui appelait à l’unité. Sous les palmiers de Kingston, en Jamaïque, il n’a pas simplement fait de la musique — il a semé des graines de paix, d’amour et de liberté. Avec chaque riff de guitare, chaque vibration de basse, il offrait au monde une prière rythmée, un appel vibrant : « Get up, stand up, stand up for your rights ! »
Bob chantait l’Afrique dans son âme, la Jamaïque dans sa voix, et l’humanité dans son regard. Il croyait que l’amour pouvait guérir, que la musique pouvait élever, que la vérité pouvait briser les chaînes. Son message ? Simple mais puissant : « One Love, One Heart, Let’s get together and feel all right. »
Aujourd’hui encore, sa voix plane comme une brise chaude sur les peuples en lutte, sur les enfants des rues, sur les nations divisées. Il est le porte-parole de ceux qu’on n’entend pas, l’écho joyeux des résistances silencieuses. Bob Marley n’est pas mort. Il vit dans chaque guitare qui pleure la liberté, dans chaque danse qui célèbre la vie. Il vit dans chaque cœur qui choisit l’amour au lieu de la haine.
Alors en ce 11 mai, on lève les mains, on ferme les yeux et on laisse la vibe nous traverser :
Peace, Love, Unity – forever reggae.
M. Kaya, directeur de publication
