Une cinquantaine de personnes venant de plusieurs coins de l’île devant une boutique à Acoua pour espérer trouver de la banane ce mercredi matin. Malheureusement certains sont rentrées bredouilles.
Images malheureusement devenues habituelles 3 mois après le passage du cyclone Chido. Et ce à n’importe quel prix pour la banane, songe, manioc, pomme de terre, patate douce,… Quand Mayotte est rattrapée par sa réalité.
« En ces temps compliqués conjuguées par Le Ramadan, l’entraide, la solidarité et le partage semblent être rangés dans les cartons » , se désole un passant.
La Rédaction
