Nous entamons à partir du 2 juin, le déconfinement: Phase 2. Avec un peu plus de liberté et moins de restrictions malgré qu’il faille toujours rester prudent. L’après-confinement n’est pas vécu pour pour tous de la même manière. Pour certains, c’est synonyme de liberté retrouvée: À nous la belle vie, les plages, les glaces , les retrouvailles et compagnie…
Pour d’autres c’est un choc à digérer doucement et pas forcément sûrement. Car cela a eu un impact psychologique considérable sur tout le monde. Au point de développer des peurs, des phobies tels que la peur de sortir, la peur d’être malade, la peur de croiser quelqu’un, toutes sortes de peurs, les plus courantes au plus rarissimes. Et cela a pu favoriser le développement d’autres maladies psychiques, allant de la dépression à une probable décompensation psychique etc…
La deuxième vague du Covid-19 est pour les psychiatres et les psychologues en particulier, ils en auront de quoi faire ces prochains jours, les patients vont se ruer dans les établissements Publics de Santé Mentale ou même consulter des psys en libéral pour ceux qui en ont le moyen. Aujourd’hui, faisons le point sur les personnes qui restent positives et fortes malgré les événements pénibles de la vie.
C’est la force de vivre !
Ce dimanche ensoleillé, j’ai eu l’occasion de bien en profiter en barbecue mahorais. Ce fut merveilleux , c’est une chose à renouveler encore et encore. J’aimerai avoir une pensée particulière à tous nos enfants, ceux à qui nous pourrions donner notre vie juste pour les voir heureux. Mais hélas leur bonheur ne dépend pas que de nous. Il dépend d’eux-mêmes et de leur capacité à tenir bon et à se relever à chaque fois qu’ils tomberont, nous dit Nelson Mandela dans sa célèbre citation.
A ces mères qui se battent seules , aux pères présents ou absents. Il est surtout important d’expliquer à nos enfants que ce n’est pas de leur faute s’ils ont des parents « imparfaits », voir « défaillants » qui n’arrivent pas ni à écouter ni à répondre à leurs besoins aussi bien matériels qu’affectifs. En effet il n’y a pas de parents parfaits, il y a juste des parents qui font de leurs mieux tout en reconnaissants leurs erreurs éducatives et leurs limites.
C’est ainsi que j’aimerai que nous prenions conscience de nos qualités humaines et de s’y attarder. Chacun de nous possède un trésor immense dont il ignore souvent. Nous sommes des merveilles et nous pouvons donner le meilleur de nous-mêmes, exploiter nos talents et faire grandir nos enfants (pour ceux qui en ont) dans un environnement sain, paisible, joyeux et propice à une bonne santé psychique. Ce n’est pas toujours simple, c’est même parfois compliqué mais nous y arriverons. Croyons en nous ! Croyons en eux !
Soyez bons, soyez heureux et prenez bien soin de vous et des êtres qui vont sont chers. Enfin, et si cette crise sanitaire planétaire était un déclic pour nous réveiller et nous faire comprendre ce qui est vraiment important : l’amour ! Le meilleur médicament naturel donné à l’humanité entière
Restez vous-même et devenez qui vous êtes, cette meilleure version de soi-même.
Sarah.